Sous l'effet de ta main dans ma main, sans temps et sans lieu
Tu sens bon d'agrumes et de cerises, la fleur de la mer, la nuit venue
Où pourtant, je suis apeuré par le possible contact perdu d'un instant de toi.
Au milieu du bleu de la nuit qui se crée, je rêve de toi, encore une fois
Accroupi sur moi-même pleurant des larmes de joie à dimension d'univers
Il me semble alors que je suis humant d'une nature remplie d'odeurs tel un jardin de bois de santal.
Et quand le noir de la nuit tombe et fige, tu retrouves ta fleur de lotus en toi
Ou ton silence me parle pour me faire perdre ma recherche du passé perdu
Alors que j'errais à la découverte de l'inconnu, d'un futur à bâtir, d'un passé définitivement déchu.
De cette terre de rêves ou la passion de mon imagination invente
S'estompe puis se calme comme sous une pluie enflammée et chaude
D'ou je reste alors la bouche bée, devenue aveugle devant tant de beauté immortelle... toi
En moi, cette oh tendre légende de l'amour, naît et grandit
Générant une mosaïque de petites joies toutes douces tombant en mousson
Sous-tendues par le fait qu'il y a tant de promesses que je fais lorsque des larmes en sourire pleurent de tes yeux mélancoliques et accrocheurs.
Et à la première lumière du matin des rayons argents,
Tu m'apparais, faites de douces ficelles de soie d'or sur fond bleu pour me sortir du sommeil
Et me garder en vie encore un jour de plus jusqu'à ce soir, mon tendre amour.
FIN !
Tu sens bon d'agrumes et de cerises, la fleur de la mer, la nuit venue
Où pourtant, je suis apeuré par le possible contact perdu d'un instant de toi.
Au milieu du bleu de la nuit qui se crée, je rêve de toi, encore une fois
Accroupi sur moi-même pleurant des larmes de joie à dimension d'univers
Il me semble alors que je suis humant d'une nature remplie d'odeurs tel un jardin de bois de santal.
Et quand le noir de la nuit tombe et fige, tu retrouves ta fleur de lotus en toi
Ou ton silence me parle pour me faire perdre ma recherche du passé perdu
Alors que j'errais à la découverte de l'inconnu, d'un futur à bâtir, d'un passé définitivement déchu.
De cette terre de rêves ou la passion de mon imagination invente
S'estompe puis se calme comme sous une pluie enflammée et chaude
D'ou je reste alors la bouche bée, devenue aveugle devant tant de beauté immortelle... toi
En moi, cette oh tendre légende de l'amour, naît et grandit
Générant une mosaïque de petites joies toutes douces tombant en mousson
Sous-tendues par le fait qu'il y a tant de promesses que je fais lorsque des larmes en sourire pleurent de tes yeux mélancoliques et accrocheurs.
Et à la première lumière du matin des rayons argents,
Tu m'apparais, faites de douces ficelles de soie d'or sur fond bleu pour me sortir du sommeil
Et me garder en vie encore un jour de plus jusqu'à ce soir, mon tendre amour.
FIN !